Comportement
Si la capacité de travail de ces fourgonnettes ne semble pas avoir de limites, il en est tout autrement pour leurs aptitudes routières. Contrairement aux minifourgonnettes, dont la conduite se rapproche de celle d'une automobile, leurs réactions sont celles d'un camion. Sur un pavé le moindrement accidenté, la suspension se montre revêche, tandis que la tenue de route est une notion très floue... tout comme la direction. Au sens propre, cette fois, pas au figuré. Leur vocation n'étant aucunement sportive, on ne leur en tiendra pas rigueur; mais ce qui est plus dérangeant, c'est le freinage, franchement atroce. Il manque de puissance, d'endurance et déstabilise le véhicule lors d'arrêts brusques. En plus, la pédale est spongieuse, ce qui rend le dosage difficile.
Habitacle
S'il y a une chose qui n'a pas changé, c'est le manque d'espace à l'avant du véhicule. La proéminence des passages de roues de chaque côté conjuguée au prolongement du moteur à l'intérieur de la cabine font en sorte que le conducteur et son voisin ont les jambes à l'étroit. Heureusement, c'est plus spacieux à l'arrière et les occupants jouissent d'une excellente visibilité. Dans le même ordre d'idées, le conducteur appréciera les gros miroirs extérieurs. Quant à la finition, elle est allée dans le même sens que la fiabilité, c'est-à-dire en s'améliorant. Depuis la dernière révision de l'habitacle, en 1996, on a également découvert le sens du mot ergonomie.
Si la capacité de travail de ces fourgonnettes ne semble pas avoir de limites, il en est tout autrement pour leurs aptitudes routières. Contrairement aux minifourgonnettes, dont la conduite se rapproche de celle d'une automobile, leurs réactions sont celles d'un camion. Sur un pavé le moindrement accidenté, la suspension se montre revêche, tandis que la tenue de route est une notion très floue... tout comme la direction. Au sens propre, cette fois, pas au figuré. Leur vocation n'étant aucunement sportive, on ne leur en tiendra pas rigueur; mais ce qui est plus dérangeant, c'est le freinage, franchement atroce. Il manque de puissance, d'endurance et déstabilise le véhicule lors d'arrêts brusques. En plus, la pédale est spongieuse, ce qui rend le dosage difficile.
Habitacle
S'il y a une chose qui n'a pas changé, c'est le manque d'espace à l'avant du véhicule. La proéminence des passages de roues de chaque côté conjuguée au prolongement du moteur à l'intérieur de la cabine font en sorte que le conducteur et son voisin ont les jambes à l'étroit. Heureusement, c'est plus spacieux à l'arrière et les occupants jouissent d'une excellente visibilité. Dans le même ordre d'idées, le conducteur appréciera les gros miroirs extérieurs. Quant à la finition, elle est allée dans le même sens que la fiabilité, c'est-à-dire en s'améliorant. Depuis la dernière révision de l'habitacle, en 1996, on a également découvert le sens du mot ergonomie.