Malgré sa taille, cette Série 6 n'accueillera que quatre personnes. L'accès à l'arrière demeure un exercice tortueux, mais une fois en place, des adultes de taille moyenne y sont très à l'aise. Il y manque des espaces de rangement à l'avant comme à l'arrière.
La chaîne audio, de bonne qualité, demande trop d'attention quand on veut changer les bandes d'écoute. Par contre, l'affichage est très rétro, à la mode des radios d'antan.
Sur la route
Cette Série 6 demeure avant tout une vraie BMW. Elle avale en tout confort les kilomètres d'autoroute. Malgré son poids important, elle garde le cap en virages serrés. Sa direction variable (ensemble Techno) en vaut le coup. Elle permet de bien aligner la voiture en courbe.
Mon seul bémol va à ses lignes plongeantes, mais on s'y habitue. Je m'explique : il est difficile de trouver ses points de repère pour la stationner ou quand on roule en ville. Comme la voiture est large, il faut jauger nos mouvements. Mais on s'y fait assez rapidement.
Au chapitre des performances, on a deux voitures dans une : boulevardière, quand on roule en mode normal, douce, silencieuse. Puis on touche le mode sport, et le V8 libère ses 360 chevaux. J'ai retranché une seconde pour passer de 80 à 120 km/h, soit 4,27. La boîte de vitesses automatique à 6 rapports fait un boulot efficace. Malgré sa masse, ce cabriolet atteint les 100 km/h en moins de 7 secondes sur le mode sport.
Mais ma plus grande satisfaction vient des qualités de son freinage, exceptionnelles pour une telle voiture : 28 mètres de 100 à 0 km/h du moment où j'appuie sur la pédale de frein.
BMW dans l'âme et la réputation
C'est la première BMW Série 6 que j'avais l'occasion de conduire, et je l'ai aimée. Elle attire l'attention de tous, même des policiers. Un de ceux-là m'a vraiment pointé, après avoir laissé passé trois autres voitures qui me précédaient, pour la même infraction mineure. Le coup d'oeil, ça se paie, avec grâce.
photo:Philippe Champoux, Matthieu Lambert
 |
| Malgré son poids important, elle garde le cap en virages serrés. |
La chaîne audio, de bonne qualité, demande trop d'attention quand on veut changer les bandes d'écoute. Par contre, l'affichage est très rétro, à la mode des radios d'antan.
Sur la route
Cette Série 6 demeure avant tout une vraie BMW. Elle avale en tout confort les kilomètres d'autoroute. Malgré son poids important, elle garde le cap en virages serrés. Sa direction variable (ensemble Techno) en vaut le coup. Elle permet de bien aligner la voiture en courbe.
Mon seul bémol va à ses lignes plongeantes, mais on s'y habitue. Je m'explique : il est difficile de trouver ses points de repère pour la stationner ou quand on roule en ville. Comme la voiture est large, il faut jauger nos mouvements. Mais on s'y fait assez rapidement.
Au chapitre des performances, on a deux voitures dans une : boulevardière, quand on roule en mode normal, douce, silencieuse. Puis on touche le mode sport, et le V8 libère ses 360 chevaux. J'ai retranché une seconde pour passer de 80 à 120 km/h, soit 4,27. La boîte de vitesses automatique à 6 rapports fait un boulot efficace. Malgré sa masse, ce cabriolet atteint les 100 km/h en moins de 7 secondes sur le mode sport.
Mais ma plus grande satisfaction vient des qualités de son freinage, exceptionnelles pour une telle voiture : 28 mètres de 100 à 0 km/h du moment où j'appuie sur la pédale de frein.
BMW dans l'âme et la réputation
C'est la première BMW Série 6 que j'avais l'occasion de conduire, et je l'ai aimée. Elle attire l'attention de tous, même des policiers. Un de ceux-là m'a vraiment pointé, après avoir laissé passé trois autres voitures qui me précédaient, pour la même infraction mineure. Le coup d'oeil, ça se paie, avec grâce.
 |
| Elle attire l'attention de tous, même des policiers. |
photo:Philippe Champoux, Matthieu Lambert
Gallerie de l'article