Assurance et équilibre
L’assurance et l’équilibre de la voiture se reflètent par la douceur et la précision avec laquelle elle répond aux interventions du conducteur, tant au niveau des gaz et des freins que de la direction. En fait, l’A7 est le parfait exemple d’une voiture réussie.
Contrairement à certains véhicules qui, au nom de la performance, ont hérité d’une personnalité trop nerveuse, l’A7 se veut résolue mais harmonieuse, à tous les égards. On peut aisément la manier tout en douceur en mode Confort et la pousser vivement en mode Dynamique.
Les divers modes modifient les réglages de la suspension, la réponse des gaz et les points de changement de vitesse de la boîte automatique à huit rapports. Des palettes au volant renforcent la nature sportive de l’A7.
Tous les éléments étant en place pour assurer la prouesse routière, nous pouvons maintenant nous pencher sur la puissance et les performances… une perspective suralimentée franchement inspirante.
Un V6 qui se prend pour un V8
On tient généralement pour acquis qu’une grosse berline a besoin d’un V8 pour qu’on puisse la qualifier de haute performance.
Or, cette notion tient de moins en moins la route ces temps-ci, et l’A7 en est un autre exemple. Audi a légué à l’A7 nord-américaine un V6 de 3,0 litres suralimenté à DACT. Ce moulin costaud et fabuleusement recherché déploie 310 ch à 5 500 tours ainsi qu’une bonne dose de 325 pi-lb de couple à 2 900 tours.
Qu’on l’attribue à la beurrée de puissance à bas régime ou la grande plage des rapports, l’A7 s’élance avec une férocité étonnante. Mordant aux quatre coins grâce à la transmission intégrale Quattro du constructeur, les pneus de 20 pouces ne plaisantent pas.
L’accélération demeure soutenue à mesure que l’A7 progresse dans les rapports avec une précision remarquable. La capacité de ce gros carrosse à franchir les 100 km/h m’a surpris : je ne m’attendais pas à de telles performances des 310 chevaux. Audi avance un 0 à 100 en 5,4 petites secondes, et j’abonde abondamment en ce sens.
L’assurance et l’équilibre de la voiture se reflètent par la douceur et la précision avec laquelle elle répond aux interventions du conducteur, tant au niveau des gaz et des freins que de la direction. En fait, l’A7 est le parfait exemple d’une voiture réussie.
Contrairement à certains véhicules qui, au nom de la performance, ont hérité d’une personnalité trop nerveuse, l’A7 se veut résolue mais harmonieuse, à tous les égards. On peut aisément la manier tout en douceur en mode Confort et la pousser vivement en mode Dynamique.
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| Audi a légué à l’A7 nord-américaine un V6 de 3,0 litres suralimenté à DACT. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
Les divers modes modifient les réglages de la suspension, la réponse des gaz et les points de changement de vitesse de la boîte automatique à huit rapports. Des palettes au volant renforcent la nature sportive de l’A7.
Tous les éléments étant en place pour assurer la prouesse routière, nous pouvons maintenant nous pencher sur la puissance et les performances… une perspective suralimentée franchement inspirante.
Un V6 qui se prend pour un V8
On tient généralement pour acquis qu’une grosse berline a besoin d’un V8 pour qu’on puisse la qualifier de haute performance.
Or, cette notion tient de moins en moins la route ces temps-ci, et l’A7 en est un autre exemple. Audi a légué à l’A7 nord-américaine un V6 de 3,0 litres suralimenté à DACT. Ce moulin costaud et fabuleusement recherché déploie 310 ch à 5 500 tours ainsi qu’une bonne dose de 325 pi-lb de couple à 2 900 tours.
Qu’on l’attribue à la beurrée de puissance à bas régime ou la grande plage des rapports, l’A7 s’élance avec une férocité étonnante. Mordant aux quatre coins grâce à la transmission intégrale Quattro du constructeur, les pneus de 20 pouces ne plaisantent pas.
L’accélération demeure soutenue à mesure que l’A7 progresse dans les rapports avec une précision remarquable. La capacité de ce gros carrosse à franchir les 100 km/h m’a surpris : je ne m’attendais pas à de telles performances des 310 chevaux. Audi avance un 0 à 100 en 5,4 petites secondes, et j’abonde abondamment en ce sens.
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| Mordant aux quatre coins grâce à la transmission intégrale Quattro du constructeur, les pneus de 20 pouces ne plaisantent pas. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |