Pour une berline de luxe, la A6 4.2 est extrêmement plaisante à conduire. (Photo: Jonathan Yarkony, Canadian Auto Press) |
Bien sûr, elle a ses défauts. J'aime l'interface MMI d'Audi, mais ce n'est pas fait pour tout le monde. Personnellement, j'ai trouvé assez simple et facile d'accéder aux commandes que j'utilise le plus souvent (audio, navigation,
Le cockpit d'un 747? Le pont d'un sous-marin nucléaire? Non, c'est l'habitacle de la A6. (Photo: Jonathan Yarkony, Canadian Auto Press) |
Le V8 de 4,2 litres est un gros moteur pour cette voiture, qui peut se déplacer sans effort grâce aux 335 chevaux et 310 lb-pi de couple. Vous comprenez pourquoi je suis devenu aussi accro? Oui, le V6 de 3,2 litres offert de série fait du bon boulot, mais le V8 est un vrai bourreau de travail qui a de l'énergie à revendre quel que soit le régime. Par surcroît, tous les rapports de la transmission sont adéquatement espacés
Le chic postérieur de la A6 arbore des feux à DEL et des accents chromés. (Photo: Jonathan Yarkony, Canadian Auto Press) |
J'avais le choix de changer moi-même les six rapports de la boîte Tiptronic, mais comme il n'y avait pas de leviers intégrés au volant, j'ai préféré laisser la transmission en mode S (Sport), qui maintient les rapports plus longtemps à l'accélération et qui rétrograde plus hâtivement au freinage. Ainsi, j'ai laissé le gros cerveau électronique faire le travail et penser à ma place - quoiqu'il n'y en a pas tellement que ça à penser.
Je le répète, avec la A6 4.2, tout n'est pas qu'une question de puissance et de conduite. L'aspect sécurité est largement mis à l'avant-plan, comme le prouve la médaille d'argent décernée par l'Insurance Institute for Highway Safety (IIHS, l'Institut d'assurance pour la sécurité dans les transports) au terme de ses tests de collisions frontales et latérales. C'est donc dire qu'elle fait partie des trois meilleures berlines intermédiaires au chapitre de la sécurité en 2006 - un exploit dont ne peuvent se vanter ni Volvo, ni Mercedes-Benz.