Rouler sur l'air !
La suspension indépendante aux quatre roues est nouvelle et utilise deux combinaisons de liaisons multiples, devant et derrière. La E500, par contre, utilise une nouvelle variante du système Airmatic, qu'a la classe S depuis 1998. Le système de la E régularise à la fois le taux d'amortissement, par la variation de la pression des amortisseurs, et la fermeté de la suspension, avec des soufflets gonflés d'air jumelés aux ressorts. Ces variations continues sont réalisées à partir de données colligées par une batterie de capteurs qui mesurent l'angle de braquage des roues, l'accélération latérale, l'angle de lacet et le régime du moteur. La suspension Airmatic rend la E500 étonnamment stable, à l'accélération comme dans les parcours sinueux.
Deux modèles, trois variantes
La gamme canadienne comptera d'abord deux berlines : la E320 et la E500, deux modèles proposés en trois variantes : Classic, Elegance et, la plus cossue, Avantgarde. La E320 sera équipée d'un V6 de 3,2 litres produisant 215 chevaux (le même moteur qu'utilise la C320). La E500, par ailleurs, utilisera un imposant V8 de 5 litres fort de 302 chevaux, soit 27 de plus que le V8 de l'ancienne E430. N'allez surtout pas croire qu'un V6 rend cette berline amorphe. Avec 221 livres-pied, 7,7 secondes suffisent à propulser ses 2170 kilos à 100 km/h, avec assez de couple en banque pour rendre les reprises rassurantes. Certes, avec le V8, c'est différent. Entre 2700 et 4250 tours-minute, ce moteur, tout discret qu'il est, fournit l'essentiel de ses 339 livres-pied. La boîte automatique à cinq rapports, doublée de la fonction « Touchshift », transmet cette puissance avec souplesse aux roues arrière pour transformer cette berline teutonne en GT multiplace. Un 0-100 km/h de 6 secondes, ça vous dit quelque chose ? L' uroberline sera en vente en septembre. Suivront la version à rouage intégral 4Matic, une version survitaminée d'AMG, puis une familiale, en septembre 2003.
La suspension indépendante aux quatre roues est nouvelle et utilise deux combinaisons de liaisons multiples, devant et derrière. La E500, par contre, utilise une nouvelle variante du système Airmatic, qu'a la classe S depuis 1998. Le système de la E régularise à la fois le taux d'amortissement, par la variation de la pression des amortisseurs, et la fermeté de la suspension, avec des soufflets gonflés d'air jumelés aux ressorts. Ces variations continues sont réalisées à partir de données colligées par une batterie de capteurs qui mesurent l'angle de braquage des roues, l'accélération latérale, l'angle de lacet et le régime du moteur. La suspension Airmatic rend la E500 étonnamment stable, à l'accélération comme dans les parcours sinueux.
Deux modèles, trois variantes
La gamme canadienne comptera d'abord deux berlines : la E320 et la E500, deux modèles proposés en trois variantes : Classic, Elegance et, la plus cossue, Avantgarde. La E320 sera équipée d'un V6 de 3,2 litres produisant 215 chevaux (le même moteur qu'utilise la C320). La E500, par ailleurs, utilisera un imposant V8 de 5 litres fort de 302 chevaux, soit 27 de plus que le V8 de l'ancienne E430. N'allez surtout pas croire qu'un V6 rend cette berline amorphe. Avec 221 livres-pied, 7,7 secondes suffisent à propulser ses 2170 kilos à 100 km/h, avec assez de couple en banque pour rendre les reprises rassurantes. Certes, avec le V8, c'est différent. Entre 2700 et 4250 tours-minute, ce moteur, tout discret qu'il est, fournit l'essentiel de ses 339 livres-pied. La boîte automatique à cinq rapports, doublée de la fonction « Touchshift », transmet cette puissance avec souplesse aux roues arrière pour transformer cette berline teutonne en GT multiplace. Un 0-100 km/h de 6 secondes, ça vous dit quelque chose ? L' uroberline sera en vente en septembre. Suivront la version à rouage intégral 4Matic, une version survitaminée d'AMG, puis une familiale, en septembre 2003.