La nouvelle boîte convient mieux au moteur
Le MDX retient toujours les services du V6 VTEC de 3,7 litres d’Acura déployant 300 ch à 6 300 r/min et 270 pi-lb de couple à 4 500 r/min. Or, si le moteur reste inchangé, il s’est remarié.
Son nouveau partenaire est un bout d’équipement raffiné qui montre le moulin sous son meilleur jour à l’aide de six rapports plutôt que cinq. Il gère mieux la puissance aussi, améliorant ainsi les performances et l’efficacité. Du point de vue du conducteur, le MDX semble plus fringant et plus disposé à répondre à nos demandes.
Les changements de rapports se font de façon nette et décisive, sans brusquerie et à point nommé. La nouvelle boîte fait un travail louable, enclenchant un rapport plus longtemps lorsque nécessaire plutôt que de partir à la recherche de la bonne vitesse. J’ai également remarqué que le conducteur a moins besoin d’initier le passage à une vitesse inférieure en descendant une côte : la nouvelle boîte semble anticiper la retenue désirée.
Comme l’an dernier, le rendement du moteur de 3,7 litres d’Acura est très raffiné, mais on peut toujours lui arracher un bon grondement lorsqu’on le pousse. Ce grondement vient souligner les performances enjouées qui démentent le luxe qui nous entoure.
Du plaisir derrière le volant
Derrière le volant, le MDX nous enveloppe dans un univers de cuir dégageant une impression de qualité et de tranquillité… deux facteurs non sans importance quand on débourse 50 000 $ et plus. Mais le style à lui seul ne justifie pas une mise de fonds substantielle. Heureusement, le MDX a également du cœur au ventre.
Même si on ne peut en aucun cas qualifier une cavalerie de 300 chevaux d’anémique, elle ne transforme pas le MDX en bête de puissance… mais elle assure d’excellentes performances. Traduction : le plaisir de conduite est au rendez-vous. J’étais plus que satisfait des capacités d’accélération et de dépassement du MDX.
Et sa tenue de route compétente et peut-être encore plus satisfaisante que son entrain. En attaquant un virage, on n’a pas peur de capoter ou de perdre le contrôle. L’excellente transmission intégrale SH-AWD d’Acura contribue à cette agilité.
Mais qu’en est-il de la suspension? Eh bien, je ne décrirais pas son travail de douillet ni même de souple, mais il n’est certainement pas brusque ni décevant. « Rigidité absorbante, mais posée», voilà ce à quoi vous pouvez vous attendre sur les surfaces bosselées. Si vous privilégiez le confort de roulement, allez faire un tour dans un Buick Enclave.
Le bruit de la route et les autres irritants caractéristiques des VUS et multisegments sont bien pris en main par le MDX 2010. On a droit à un environnement silencieux qui s’avère accueillant et apaisant, peu importe la longueur du trajet. Bref, il est difficile de trouver matière à redire à propos du VUS phare d’Acura. Bien qu’il ne soit pas donné, il offre une grande valeur et beaucoup de style pour son PDSF de 51 990 $.
Le MDX retient toujours les services du V6 VTEC de 3,7 litres d’Acura déployant 300 ch à 6 300 r/min et 270 pi-lb de couple à 4 500 r/min. Or, si le moteur reste inchangé, il s’est remarié.
Son nouveau partenaire est un bout d’équipement raffiné qui montre le moulin sous son meilleur jour à l’aide de six rapports plutôt que cinq. Il gère mieux la puissance aussi, améliorant ainsi les performances et l’efficacité. Du point de vue du conducteur, le MDX semble plus fringant et plus disposé à répondre à nos demandes.
Les changements de rapports se font de façon nette et décisive, sans brusquerie et à point nommé. La nouvelle boîte fait un travail louable, enclenchant un rapport plus longtemps lorsque nécessaire plutôt que de partir à la recherche de la bonne vitesse. J’ai également remarqué que le conducteur a moins besoin d’initier le passage à une vitesse inférieure en descendant une côte : la nouvelle boîte semble anticiper la retenue désirée.
Le MDX retient toujours les services du V6 VTEC de 3,7 litres d’Acura déployant 300 ch à 6 300 r/min. (Photo: Acura) |
Comme l’an dernier, le rendement du moteur de 3,7 litres d’Acura est très raffiné, mais on peut toujours lui arracher un bon grondement lorsqu’on le pousse. Ce grondement vient souligner les performances enjouées qui démentent le luxe qui nous entoure.
Du plaisir derrière le volant
Derrière le volant, le MDX nous enveloppe dans un univers de cuir dégageant une impression de qualité et de tranquillité… deux facteurs non sans importance quand on débourse 50 000 $ et plus. Mais le style à lui seul ne justifie pas une mise de fonds substantielle. Heureusement, le MDX a également du cœur au ventre.
Même si on ne peut en aucun cas qualifier une cavalerie de 300 chevaux d’anémique, elle ne transforme pas le MDX en bête de puissance… mais elle assure d’excellentes performances. Traduction : le plaisir de conduite est au rendez-vous. J’étais plus que satisfait des capacités d’accélération et de dépassement du MDX.
Et sa tenue de route compétente et peut-être encore plus satisfaisante que son entrain. En attaquant un virage, on n’a pas peur de capoter ou de perdre le contrôle. L’excellente transmission intégrale SH-AWD d’Acura contribue à cette agilité.
Mais qu’en est-il de la suspension? Eh bien, je ne décrirais pas son travail de douillet ni même de souple, mais il n’est certainement pas brusque ni décevant. « Rigidité absorbante, mais posée», voilà ce à quoi vous pouvez vous attendre sur les surfaces bosselées. Si vous privilégiez le confort de roulement, allez faire un tour dans un Buick Enclave.
Le bruit de la route et les autres irritants caractéristiques des VUS et multisegments sont bien pris en main par le MDX 2010. On a droit à un environnement silencieux qui s’avère accueillant et apaisant, peu importe la longueur du trajet. Bref, il est difficile de trouver matière à redire à propos du VUS phare d’Acura. Bien qu’il ne soit pas donné, il offre une grande valeur et beaucoup de style pour son PDSF de 51 990 $.