Habitacle
Sans être vieillot, l'habitacle de l'Impreza manque franchement de saveur. Le design est tout ce qu'il y a de conventionnel et mis à part la plaque centrale de la planche de bord de couleur métallique, on ne retrouve aucun élément décoratif. Lorsqu'on active les phares, l'éclairage verdâtre de la planche de bord rappelle celui des voitures japonaises des années 80, avec tout ce qu'il y a de plus endormant.
Quoi qu'il en soit, la qualité des matériaux et l'assemblage frôlent la perfection et aucun cliquetis ne se fait entendre. Aussi, même s'il manque de saveur, l'habitacle est parfaitement ergonomique et permet au conducteur de consulter les cadrans et d'utiliser les diverses commandes sans le moindre effort. Les compartiments de rangement sont suffisamment nombreux et l'espace accordé aux jambes et à la tête est convenable, du moins, à l'avant.
Le conducteur prend place sur un siège bien dessiné, possédant d'excellents supports latéraux qui gardent le conducteur bien en place. Sans être trop ferme, il offre un confort impressionnant qui sera apprécié sur de longs trajets. Ajustable en hauteur et muni d'un support lombaire, il permet de trouver une position de conduite idéale. Le seul bémol concerne la sellerie de tissu, qui semble peu résistante à long terme. La banquette arrière offre également un bon confort malgré un espace légèrement restreint. Cependant, elle n'est pas rabattable, ce qui à mon avis est inadmissible en 2004. Ce seul inconvénient obligera sans doute plusieurs acheteurs à opter pour la version familiale.
Du côté de l'équipement, la 2.5TS comprend les rétroviseurs, les glaces et le verrouillage à commandes électriques, le régulateur de vitesse, le climatiseur, le télédéverrouillage et une chaîne sonore plutôt décevante avec lecteur de CD. À l'exception de la boîte automatique, aucune option n'est offerte, ce qui vous laissera comme seul choix, la couleur de la carrosserie.
Mécanique
Évidemment, on retrouve sous le capot l'infatigable 4 cylindres à plat de 2,5 litres développant 165 chevaux. Sans être aussi impressionnant que celui de la WRX, ce moteur tire bien son épingle du jeu grâce à un couple généreux et une plage de puissance bien répartie. Le 0-100 km/h se boucle en 9,3 secondes et la vitesse de pointe se situe légèrement en dessous des 200 km/h. Si certains d'entre vous se demandent toujours pourquoi Subaru tient au moteur de type boxer, c'est qu'il permet non seulement d'offrir un couple plus généreux, mais aussi d'abaisser le centre de gravité de la voiture, offrant ainsi une meilleure répartition du poids et par conséquent, une tenue de route plus stable.
Sans être vieillot, l'habitacle de l'Impreza manque franchement de saveur. Le design est tout ce qu'il y a de conventionnel et mis à part la plaque centrale de la planche de bord de couleur métallique, on ne retrouve aucun élément décoratif. Lorsqu'on active les phares, l'éclairage verdâtre de la planche de bord rappelle celui des voitures japonaises des années 80, avec tout ce qu'il y a de plus endormant.Quoi qu'il en soit, la qualité des matériaux et l'assemblage frôlent la perfection et aucun cliquetis ne se fait entendre. Aussi, même s'il manque de saveur, l'habitacle est parfaitement ergonomique et permet au conducteur de consulter les cadrans et d'utiliser les diverses commandes sans le moindre effort. Les compartiments de rangement sont suffisamment nombreux et l'espace accordé aux jambes et à la tête est convenable, du moins, à l'avant.
Le conducteur prend place sur un siège bien dessiné, possédant d'excellents supports latéraux qui gardent le conducteur bien en place. Sans être trop ferme, il offre un confort impressionnant qui sera apprécié sur de longs trajets. Ajustable en hauteur et muni d'un support lombaire, il permet de trouver une position de conduite idéale. Le seul bémol concerne la sellerie de tissu, qui semble peu résistante à long terme. La banquette arrière offre également un bon confort malgré un espace légèrement restreint. Cependant, elle n'est pas rabattable, ce qui à mon avis est inadmissible en 2004. Ce seul inconvénient obligera sans doute plusieurs acheteurs à opter pour la version familiale.Du côté de l'équipement, la 2.5TS comprend les rétroviseurs, les glaces et le verrouillage à commandes électriques, le régulateur de vitesse, le climatiseur, le télédéverrouillage et une chaîne sonore plutôt décevante avec lecteur de CD. À l'exception de la boîte automatique, aucune option n'est offerte, ce qui vous laissera comme seul choix, la couleur de la carrosserie.
Mécanique
Évidemment, on retrouve sous le capot l'infatigable 4 cylindres à plat de 2,5 litres développant 165 chevaux. Sans être aussi impressionnant que celui de la WRX, ce moteur tire bien son épingle du jeu grâce à un couple généreux et une plage de puissance bien répartie. Le 0-100 km/h se boucle en 9,3 secondes et la vitesse de pointe se situe légèrement en dessous des 200 km/h. Si certains d'entre vous se demandent toujours pourquoi Subaru tient au moteur de type boxer, c'est qu'il permet non seulement d'offrir un couple plus généreux, mais aussi d'abaisser le centre de gravité de la voiture, offrant ainsi une meilleure répartition du poids et par conséquent, une tenue de route plus stable.